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Literature Text
Elle règne en douceur
sur des fauteuils de cuir fauve
parée blanche de thé d’automne
Des rideaux pâles et pourpres
enveloppent son ombre ; les volets
cognent les mots
chuchotent
Assailli de feuilles sèches,
le jardin s’endort
la nuit descend et
l’horizon se courbe du
poids
de sa chevelure
Frantz, 15/11/2016
Comments17
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J'aime beaucoup!
Deux petites remarques pour être plus constructif :
- Le découpage de la deuxième strophe m'étonne mais je pense que je n'ai pas saisi l'intention. A l'oreille j'aurais préféré le plus simple:
Des rideaux pâles et pourpres enveloppent son ombre
les volets cognent, les mots chuchotent
- "Assailli" j'aurais choisi un autre verbe, je trouve qu'il est trop martial pour l'ambiance feutrée du poème et s'accorde mal avec l'endormissement.
"cerné" avec son jeu polysémique aurait pu le faire.
VOili voilou deux petits points très suggestifs qui n'enlèvent rien à la qualité de ton texte que j'ai beaucoup aimé, je le répète.
Deux petites remarques pour être plus constructif :
- Le découpage de la deuxième strophe m'étonne mais je pense que je n'ai pas saisi l'intention. A l'oreille j'aurais préféré le plus simple:
Des rideaux pâles et pourpres enveloppent son ombre
les volets cognent, les mots chuchotent
- "Assailli" j'aurais choisi un autre verbe, je trouve qu'il est trop martial pour l'ambiance feutrée du poème et s'accorde mal avec l'endormissement.
"cerné" avec son jeu polysémique aurait pu le faire.
VOili voilou deux petits points très suggestifs qui n'enlèvent rien à la qualité de ton texte que j'ai beaucoup aimé, je le répète.